en 1773, il réside rue Saint-Honoré, près de la rue du Four, chez le Ferblantier (Journal de Musique 1773 n°4)
en 1775 : rue Saint-Honoré, vis-à-vis la Barrière des Sergens, chez un Layetier (Almanach musical 1775 – p.130)
en 1776 : même adresse (Almanach musical 1776 – p.155)
Le logeur, marchand de fer blanc était devenu marchand de layette entre temps !
Mention publicitaire dans ce "bottin" des professionnels parisiens : "Il a perfectionné la vielle, et lui a donné un son ressemblant à celui du violon" (voir notre article précédent en référence - Journal de musique – 1773 n°4 p.77-78)
Les deux articles ci-dessus mentionnent comme joueur de vielle M. Danguy, ou Dangui, rue Bourg-l'Abbé. Attestant qu'il n'est pas décédé. Ou bien qu'ils ne sont pas décédés... car il y avait au moins deux Danguy joueurs de vielle en 1754 !.....
Nous y reviendrons...